Il faisais froid, mais pourtant je m'étais importunée d'une magnifique robe noire qui faisait ressortir mes cheveux blanc foncés et mais yeux d'ange couleur noisette je me trouvais resplendissante mais je savais que les autres allaient me trouver grotesque avec cette robe pas assez longue.
- J'adore quand il fait froid, dis-je à voix haute pour que les nuages m'entendent et qu'ils se mettent à neiger.
Puis je me mis à penser à mon petit ami, enfin mon ex-petit ami, Zane, il avait faillit me faire perdre mes ailes ce débile et dire que je l'aimais et que j'avais failli c*****r avec lui, Zane, avec ses cheveux qu'il teintait à la calligraphie et ses yeux noir profonds comme les abimes je .... non je l'aimais encore un peux je crois. Mais il nous avais tous trompé. En se liguant avec mon père pour libéré Baalzebuth; comment avait-il pu faire ça....puis j'éclatai en sanglots en m'allongeant sur l'herbe glacée qui me décrocha un sourire imperceptible.
Enfin, vidée de toutes les lames de mon corps je sentis son parfum, Zane.
- Que fait tu là ? Chuchotai-je sans ouvrir les yeux et sans me lever et en ouvrant mes ailes même si je saivais que je ne pourais pas voler
- je voulais te voir...mon amour ! Me répondit-il en se penchant sur moi.
Il me releva, mit sa main sous mon menton et me releva la tête, " nous ne sommes plus ensemble " pensai-je. Puis les doigts de Zane se refermèrent dans mes cheveux et me tira vers lui. Alors je fermai les yeux laissant les lèvre du garçon approchées des miennes.
Mon poux s'accéléra de nouveau, mon esprit s'emballa. Je laissais donc mes lèvres s'entrouvrir alors que la réalité tourbillonnait autour de moi... ... puis se fut une sensation agréable.
Après à long moment nous nous détachâmes l'un de l'autre.
Mes yeux toujours fermés, je sentis son souffle sur moi, sa main tiède et douce sur ma nuque.Je lui murmurai alors :
- Si tu veux des informations sur mon père, assure-toi que tu n'aura r...
Il retira une fois de plus vers lui et m'embrassa encore mais, cette fois avec plus de fougue. Puis sa main toujours sur ma nuque il me projeta avec force dans les airs puis ne sachant plus voler je tombai alors me brisant une aile, je hurlai de douleur puis il me cria en pleurant :
- Je ne veux plus rien savoir de ton père Zazaelle, je t'aime c'est tout.
Puis il partis en se téléportant. Enfin essayant de m'assoir malgré la douleur je vis quelqu'un qui courrai vers moi alerté par tous ces cris.