Après l'incident des poltergeistes { -18 Âmes sensibles s'abstenir}

3ème année Messages : 357 Date d'inscription : 12/09/2008 Age : 30

Je sentis mon corps être transporter au plus vite mais je ne pouvais ni communiquer ni prononcer un seul mot. Je ne voyais que le néant sous mes paupières. Mais je me concentrais pour regagner des points de vitalités et peu à peu je pus bouger mes lèvres et entre-ouvrir mes yeux. C'est là où je vis mon amour me tenant dans ses bras courant dans les couloirs. Je posa ma main encore faible sur sa joue et lui murmura d'une voix étouffée:

-"Merci Tony.... Mais.... où... m'emmènes... tu.... amour? Pas... à ...l'infirmerie.... "

Plus je me forçais à parler plus mes capacités de régénération diminuaient. Ma main retombait sur ma poitrine et mes étaient de plus en plus lourdes. Mais têtue comme je suis je me forçais à rester éveillée et à être capable de parler avec mon tendre et cher. Je ne voulais pas aller à l'infirmerie car la dernière fois ils m'ont garder plus d'une journée et j'ai crue devenir folle à ne pouvoir rien faire. Je ne pouvais pas fuir la dernière fois ils m'avaient attaché de force avec je ne sais quel pouvoir que je n'ai pas pus détruire.

Elle allait mieux, même si ce n'était pas encore ça, elle avait réussis à prononcer des mots qui me firent rire, auxquels je répondis ironiquement :

"Et bien si ma belle, tu y va même plus vite que jamais. Ca ne te plais pas ? Je peux te laisser mourir ici si tu prefères"

Flambi apparu alors sur mon épaule, et l'instant d'après nous étions à l'infirmerie. Mon ami ailé devait désormais se reposer, car il avait vécu le même stress que moi et avait du fournir un effort important en se téléportant à la chaine.Je lui fis signe de se coucher sur un lit pour dormir.

Je posais tendrement Litagothic sur un autre lit, l'embrassais et allais chercher dans la réserve des sacs et des piqûres pour faire une perfusion régénératrice à ma tueuse fétiche, je remplis un sac de sang de vampire chaud, que je fis apparaître dans la poche en l'invoquant d'une de mes réserves secrètes dans l'école, sang cloné evidemment. Je lui posait cette perfusion, remplissait un autre sac en prévision avant de me placer au dessus d'elle et de me concentrer.

Mes mains se mirent à briller d'un éclat bleuté, et l'énergie naturelle réparatrice qui m'emplissait et qui emplissait la salle commençais à se diffuser dans le corps entier de Litagothic plus ou moins vite...

3ème année Messages : 357 Date d'inscription : 12/09/2008 Age : 30

Je ne pus écouter seulement les paroles de mon Tony me transportant en quatrième vitesse au lieu où je ne voulais pas aller sans pouvoir rajouter quoi que ce soit sentant mes forces me quitter. Mon tendre protecteur était toujours là pour moi pour me venir en aide même quand c'est moi qui fait les gourdes.
Je sentis ses chaudes lèvres contre les miennes si glaciales en sentant qu'il me déposait avec la plus grande délicatesse sur un des maudits lits de l'infirmerie. Ce baiser m'avait vraiment manqué... Je n'y avais eu pas le droit depuis trop longtemps à cause des règles de cette académie. L'amour interdit entre élèves et professeurs dans l'enceinte de l'école.... On se connait depuis qu'on est tout petit! On a toujours vécu ensemble .... enfin presque! Alors pourquoi il y a toujours quelque chose ou quelqu'un qui essaye de nous séparer! Nous sommes fait l'un pour l'autre et rien ne pourra s'opposer entre nous! J'y veille personnellement! Mais je ne peux me permettre de me faire viré de cette école et je dois refouler mes sentiments pour lui devant les autres me cacher constamment pour avoir juste le droit à un simple baiser de ma seule raison d'être! A chaque moment de mon éternelle existence je désir plus que tout me retrouver au moins un seul instant avec lui et lui seul loin de toutes ces règles stupides pour enfin prendre du plaisir avec lui et lui montrer à telle point il me manque sur ce point sentimental.

tout à coup une impression de régénération vint à me traverser le corps me sortant de mes pensées profondes. C'était mon tendre compagnon qui m'avais foutu une perfusion et qui, avec ses nouveaux pouvoirs, me permettait de récupéré deux fois plus vite. Après une bonne heure je pus reprendre total contrôle de mon corps. Contente d'avoir retrouver mes compétences vitales je me mis à bondir du lit voulant quitter cette endroit au plus vite. Mais ma tête se mis à me tourner subitement puis me fit chuter et perdre conscience une seconde fois. Je repris mes esprits quelques secondes après en prenant conscience de mon réveil trop brutal pour mon état. Ce fichu poltergeist m'avait vraiment affecter à un point que je n'aurais jamais pu imaginer. Même après qu'il soit parti de mon corps mes compétences de régénérations totales étaient diminuée. Je resta assise à terre n'osant pas me remettre debout de crainte que Tony me revoit chuter comme une faible et incompétente humaine ! Je me mis à me passer la main sur le visage puis attendis la réaction de mon amour. En ne disant que dans un murmure tête baissée:

-"Idiote....."

Après qu'elle se soit relevée puis qu'elle soit tombée, elle prononça un simple mot ! Mot dont elle se qualifiait apparemment, et je me permis de la contredire le plus calmement du monde en m'accroupissant à coté d'elle et en la prenant dans mes bras :

"... Est un mot qui ne te qualifie pas, courageuse un peu suicidaire et dotée d'une grandeur d'âme impressionante pour une Denfire, ces mots te conviennent mieux."

Je savais que lui ferait plaisir d'entendre ces mots.
Je l'aidais à se relever maintenant, je devais l'emmener à l'extèrieur de l'école, où je n'avais pas mit les pieds depuis presque un mois.
Je lui dis alors:

"Suis moi, j'aimerais te parler même si tu ne voudras pas forcément m'entendre..."

Nous commençions à marcher vers la porte qui menait au couloir, je voudrais nous diriger seulement jusqu'au palier de l'école, duquel Flambi ferait son oeuvre et nous transporterais dans un lieu voulut, seulement j'attendais d'avoir l'accord de ma belle pour ça...

3ème année Messages : 357 Date d'inscription : 12/09/2008 Age : 30

Tony me repris en me complimentant de la façon que j'aime le plus et pour couronner le tout il me pris dans ses bras. Ce simple geste me redonna un peu le sourire et me donna surtout la force de me relever. Puis mon tondre amour m'annonça qu'il souhaiterait m'emmener dehors pour me parler de quelque chose qui apparemment ne me plairais pas forcément.
Mais le désir de sortir de cette école même pour quelques instants en sa compagnie me poussait à accepter pour le suivre. Je me mis donc à marcher sur ses pas en restant silencieuse, calme et hésitante. Je brûlais d'envie de lui prendre la main comme un vrai couple qui n'a pas besoin de se cacher constamment. Mais je me retenais jusqu'à ce que l'on sorte de l'enceinte de l'académie.
Arrivés au palier de l'école, ne pouvant plus me retenir, je regarda rapidement mais efficacement si quelqu'un pouvait nous voir et lui fit d'une voix décidée:

-"Avant que tu ne dises quoi que se soit, laisse moi faire une chose et interprète le comme tu veux...."

Puis sur mes mots, je me mis à attraper le visage de mon bien aimé dans un geste de désir suprême le regardant plus amoureusement que jamais puis l'embrassa torridement mélangeant sentiments d'amours sincères, crainte, envis et méfiance.

Ces moments là me manquent tellement... Même n'étant pas humaine je ne peux pas supporter ça constamment! Je suis peu être déjà morte mais je ressens des sentiments.... Entre ses absences causé par des quêtes trop dangereuses qui lui ont déjà coûté un bras et ici où l'on est constamment caché et privé! Y en a marre.... J'ai besoin de ressentir qu'il m'aime lui aussi.... Je deviens folle sans ça... Je commence déjà à l'être... Je me décolla de ses lèvres laissant mes yeux plongés dans les siens craignant quelque peu ce qu'il allait m'annoncer mais sans baisser la tête! Lita doit rester elle même en toutes circonstances! Ne jamais montrer ses faiblesses même si mon tendre et cher les connait déjà. Je repris en essayant de garder mon calme:

-"Alors? Qu'est ce que tu voulais me dire? "

Une seconde à peine avant que nous ne soyons téléportés par Flambi devant une maison sur un petit chemin dallé, j'avais envoyé une pulsation de pouvoirs pour indiquer à la belle Elowine que j'allais m'absenter peut-être pour plusieurs jours.

Je marchais droit devant moi pour franchir les quelques mètres qui me séparait du porche de la maison, cette maison avait une entrée avec trois marches, deux colonnes de pierre et une avancée de pierre joignait ces colonnes.

Avant d'ouvrir la porte, je me retournais pour dire:

"Cet endroit m'appartient désormais, je veux te le faire partager !"

J'avais esquivé sa question, pour qu'elle comprenne que j'allais lui en parler mais que je voulais d'abord lui montrer des choses.

J'ouvrais donc la porte, puis j'avançais pour qu'elle découvre à ma suite l'entrée avec en face les escaliers menant à l'étage, à droite la cuisine aménagée, a gauche le salon qui devait faire 80m² à lui seul, il y avait une cheminée ainsi que des fauteuils et deux canapés, un petit coin isolé avec une petite bibliotèque fine à coté d'une table et d'un fauteuil, elle saurait surement que c'était pour moi.

Le salon était emplis d'éléments accrochés aux murs, que ce soit un mur tapissé d'une toile peinte représentant l'école, ou encore un mur plein d'armes accrochées, une bonne quinzaine éparpillée. Dont certaines lui rappellerais des choses lorsqu'elle aurait le temps de les observer.

Je devais lui laisser le temps de s'habituer rien qu'à cette salle, elle était un peu sous le choc, je lui fit signe de s'asseoir à coté de moi sur un canapé avant qu'elle n'ai les jambes coupées, et j'attendais sa réaction...

3ème année Messages : 357 Date d'inscription : 12/09/2008 Age : 30

Flambi nous avait téléporté à un endroit inconnu pour moi mais apparemment très familier pour mon tendre amour cachottier.
Il me fit découvrir sa sois disant résidence.
Je n'en croyais pas mes yeux!Sa demeure était somptueuse!
Le décor était un peu de vieux goût mais connaissant Tony c'était tout à fait approprié à son style.
Mais j'aimais aussi ce genre de déco ça me rappelait vraiment la maison de notre maître.
C'était un endroit comme celui là qui inspirait la sérénité et le calme absolu. Je me sentais vraiment chez moi chez mon maître!
Même plus que dans mon propre château .
Ces dernières pensées me mirent un peu le blues et le cafard. Mais la visite n'était pas terminée.
Après avoir visiter plusieurs pièces, nous arrivâmes dans un salon qui m'arrêta le plus! Il était splendide!
C'était presque la copie conforme de la salle de détente de Maître! Cette bibliothèque! Ces fauteuils et canapé!
Et ses armes accrochées au mur que j'aimais tant expérimenter chaque jour!! En parlant d'armes,
Je me mis à arrêter mon regard sur certaines dans cette salle.
Ces dernières étaient les armes qu'on utilisait aux entraînements avec Tony et Maître. Que de bon souvenir! Mais celle qui m'a la plus surprise en la voyant c'est l'arme blanche que j'avais offerte à Tony alors que nous étions encore jeune, pour le remercier de m'avoir sauver et cachée chez Maître le jour de mon 10 ème anniversaire des griffes de mon père furieux qui avait l'intention de me torturer abominablement. C'était le châtiment qu'il me réservait à chaque foi que je refusais de boire leur cadeau d'anniversaire ( une célébrité d'exception ou un enfant d'une beauté incomparable que je devais vider de leur sang. Du sang unique qu'ils me disaient....Sacrilège impardonnable que je faisais lorsque je refusais....)!Bref cette nuit là je lui avait donner en signe de reconnaissance profonde une arme qui appartenait à ma famille depuis des décennies! Une arme d'une grande finesse et d'une grande puissance.

On m'avait raconté que cette arme renfermait un pouvoir particulier mais je n'ai jamais réussi à le découvrir et je sentais que Tony, lui, arriverait à la manier dans toute sa splendeur! Je détacha mon regard de mes souvenirs lointains accroché à ce mur immense puis me laissa tomber sur le canapé près de Tony en soupirant profondément en signe d'étonnement et de satisfaction. Je me tournais vers lui, lui lançant un regard doux et reconnaissant. Tous mes souvenirs avec lui me vinrent à l'esprit! Tous les moments où il était là pour moi, où on a pris soin de nous mutuellement, les moments de tristes et de joies, de rancune et d'amour! Une vague de sentiments passionnés se mit à m'envahir et me laissant emportée par cette dernière je me mis à me jeter au cou de mon amour.
Je me mis à passer mes mains sous sa chemise, mes lèvres parcouraient désormais son cou de baiser, j'étais à califourchon sur ses genoux très très très proche de lui. Ce contact direct m'excitait encore plus, je repensais au faite que l'on était en dehors de l'école et en plus dans sa propriété privé, sur SON canapé... J'avais envi de lui, là! Maintenant! Impossible de me retenir plus longtemps. Je me mis à déchirer sa chemise laissant à mes yeux un panorama splendide qu'ils avaient presque failli oublié! Mes mains descendaient de plus en plus bas, ma langue fit une apparition sur son torse.
Je me mis à l'embrasser comme jamais! Montrant mon désir soudain et sincère. Il ne pouvait pas me refuser ça! Pas après son absence et les distance que l'on devait subir tous les jours! Ma langue se mit à jouer avec la sienne. Mes mains sentaient la réaction attendu de mon amour sous son pantalon trop serré maintenant. Je ne voulais pour rien au monde que ce moment soit interrompu! Je voulais que mon Tony me montre que à lui aussi je lui avait tant manquer, que lui aussi il voulait de moi! Je me mis à lui mordiller le lobe puis lui murmura dans un souffle de passion:

-"Tu m'as tellement manqué.... Je t'aime mon amour...."

La discutions sérieuse attendra un peu! Le moment était réservé pour les retrouvailles ! Et c'était bien plus important que toutes autres choses sur cette terre!

{H-J : J'ai terminé en te faisant jouir, j'espère que tu seras d'accord.}

Après qu'elle eut lorgné la dague si précieuse qu'elle m'avait offerte, elle vînt s'occuper de moi.
Se plaçant a califourchon sur mes genoux, elle commençais a m'embrasser et à me déshabiller, alors que je me laissais faire; jusqu'à ce que nos langues se mêlent dans un baiser fougueux, et qu'elle vienne me susurrer à l'oreille que je lui avait manqué, après m'avoir mordillé le lobe.

Je fit alors un mouvement très rapide, mes forces étaient à l'affût grâce à l'excitation, ma main droite vînt étreindre son cou pour la soulever alors que je me levais.

Je ne l'empêchait pas de respirer mais presque, et alors que mon regard devenait sadique, je sortais ma baguette de ma ceinture de la main gauche, et d'un geste léger du poignet ses vêtements lui furent arrachés.

Ensuite je la lâchais, la soutenant en l'air avec un sortilège, les bras écartés et les jambes droites. Je lui dis alors après un rire sardonique:

"Et bien ma chère, il faudrait que vous soyez plus à l'affût du danger, ou cela pourrait vous coûter cher !
Maintenant vous allez devoir m'obéir !"

Je m'avançais vers elle, elle était soulevée dans les airs de manière à ce que son visage soit à hauteur du mien. Je lui volais un baiser, puis enlevait calmement mon pantalon. Mon érection tendait sous mon caleçon, et je fit mine d'être gêné en me grattant l'arrière de la tête.
Je m'approchait d'elle, plaçait mon bras dans son dos pour la tenir, avant de jeter ma baguette sur la table près d'elle; elle tombait alors dans mes bras, et je la retînt en la couvrant de baisers, laissant sortir mon érection sortir et comblant son corps en la laissant descendre un peu. je la posais sur la table à manger, et lui tenant les bras, je la prenais en l'embrassant...
Elle hurlait un coup ce qui devait montrer qu'elle arrivait à l'orgasme, et je me laissait emplir du plaisir, la souillant de mon infertilité dans la sienne.

Je me reposais quelques secondes affalé sur ses seins, avant de reculer après avoir pris ma baguette, et en un instant je l'avais nettoyée de l’intérieur et j'avais nettoyé la protubérance qui ne devenait même pas mole.
Nous venions de faire ce que nous désirions tous les deux depuis des lustres, mais notre faim de sexe n'était pas encore prête d'être comblée !

Je me retournais vers elle en remettant mon pantalon, afin de lui dire:

"Saches que je compte te rendre la pareille, tu vas pouvoir dominer pour le deuxième acte, et nous monterons à l'étage où je te conduirais dans notre chambre pour terminer par un acte d'amour langoureux et tendre avant de nous reposer. Cela te conviens?"

Elle serait surement satisfaite, du moins c'est ce que j'espérais...

{ A toi ma poule !}

» quel bel endroit!
» Après la pleine lune.